Je ne saurai trop vous recommander la lecture de cet article sur la « mosntre » vivante de l’art contemporain
Français. Ses travaux sont parfois dérangeants. Ma première rencontre fut tardive. En 1995, à l’exposition
Féminin/Masculin au Centre Pompidou (pour laquelle je fis la fête de vernissage avec Manu Le Malin, Patrick
Vidal, la Bourrette, M&M’s sur le toit du Centre…), Louise Bourgeois fit une installation fort simple :
un wagon allait et revenait sur des rails de 10m de long, traversant un énorme tuyaux en fonte, avec un gyrophare
rouge…
Dès le début, la monstre nous mettait KO.
Autre surprise, son morceau avec Ramuntcho Matta sur les femmes réalisé en 1995 et produit par Brigitte Cornand,
qui vit elle aussi à New York. Ce récitatif est très drôle, à méditer parfois.
Pour entrer dans le monde de Louise, lisez l’article du Monde, excellent.